Vendredi 21 octobre
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Tes yeux sont deux grands lacs pleins d'ombre
Etoilés d'ors capricieux.
J'aime noyer en ces beaux yeux
Tous mes soucis ; ma fièvre y sombre
Calmant, aux flots silencieux
De leur nuit scintillante et sombre,
Son désir infini des cieux.
Tes yeux sont deux grands lacs pleins d'ombre.
Léopold Dauphin
Par le musardeur de muses
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Publié dans : poesieducorps
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